« Notre père vénéré, que Dieu bénisse son âme, était profondément soucieux de placer la question de la protection des enfants, de la garantie de leur avenir et de la préservation de leur dignité parmi les préoccupations majeures de notre pays. Il fut précurseur concernant l'adoption de la convention de l'ONU sur les droits de l'enfant et dans la mise en place des mécanismes efficients pour en assurer la mise en œuvre, comme en témoigne la signature, par le regretté Souverain. que Dieu ait son âme, de la déclaration universelle sur la sauvegarde de l'enfant, sa protection et son développement, I ‘institution du Congrès national des droits de l'enfant qu'il a érigé en observatoire national qui s'occupe du suivi de la mise en œuvre de la convention de l'ONU y afférente et dont il a confié la présidence à Son Altesse Royale la Princesse Lalla Meryem. Il y a lieu de citer en outre le grand essor qu'a connu la société civile et dont nous sommes en droit d'être fiers.
Ces réalisations traduisent à quel point notre Auguste père, que Dieu l'ait en Sa Sainte Miséricorde, était profondément conscient de la nécessité de conjuguer les efforts de tous pour promouvoir la condition de l'enfance. »